La frontière entre « antisémitisme » et « antisionisme »
L’antisémitisme est puni par la loi, l’antisionisme ne l’est pas, du moins pas encore. Tant que les élus ne comprendront pas qu’il s’agit (dans la majorité des cas) d’un maquillage parfois léger et décelable mais malheureusement d’autres fois intelligemment réalisé.
Il est relativement aisé de faire supprimer des contenus ouvertement antisémites, et c’est contre eux que nous obtenons d’excellents résultats. Le (pseudo) antisionisme par contre, est toléré. Du moins, il demande plus de travail de réflexions aux jeunes modérateurs des sites Internet, derrière leur ordinateur.
Israël, avant d’être un état, est un peuple, le peuple juif. Et le pont est souvent franchit, maladroitement, par ceux qui masquent leur haine du peuple d’Israël, en la canalisant contre l’état du même nom.
Le combat contre l’antisionisme est plus difficile, mais plus important en quantité. Il faut prendre le temps de décortiquer les vidéos, de lire les discussions d’auteurs d’articles avec ses fans… Souvent, les antisionistes « s’emmèlent les pinceaux », se « lâchent » : ce sont d’odieux racistes : c’est le juif qu’il hait, pas l’état ancestral du juif.
Prenez le temps d’analyser les contenus « antisionistes » : une phrase, un mot, et ce contenu a priori légal est peut-être illégal et une grave incitation à la haine.
C’est un calcul comptable que nous avons effectué au sein de la F.D.I.I : peu d’antisionistes ne sont pas antisémites.
Ce ne sont que quelques lettres qui changent, mais l’âme de ces auteurs ne change pas.
Pour en savoir plus : http://www.juif.org/fdii/
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1 Comment
Israël aura raison du terrorisme et des militants pro palestiniens qui vouent leur cause à détruire Israël.